C’était hier… ?

Publié le par E.R.

 (En guise d’introduction…)
Depuis un certain temps j’observe que nombre de responsables paraissent regretter le «temps béni » du service national qui présenterait l’avantage, aujourd’hui, de donner un cadre de vie à notre jeunesse en proie au doute tout en appelant de leurs vœux la «restauration » d’une forme de « feu » le service national, sans que l’on en connaisse véritablement ni le régime (militaire ou civil?), ni l’organisation, ni le coût induit.
Je ne puis que sourire un peu tristement devant la « découverte » de cette question de fond que je m’étais permis d’évoquer, comme d’autres sans doute à l’époque, il y a …15 ans déjà ! Bien sûr, le texte a quelque peu vieilli mais la finalité proposée alors, était la même que celle recherchée aujourd’hui: « faire un apprentissage de vie en collectivité ».
Assurément le «service intégration » était-il un titre politiquement incorrect, sans importance d’ailleurs, puisque personne ou quasiment personne ne m’a lu à l’époque. Pourtant, il y avait matière à réflexion et à discussion : je vous en laisse juge.


(En guise de conclusion…)
Ce qui paraissait encore possible dans les années quatre vingt dix avec des aménagements bien sûr, nécessaires pour pouvoir « absorber » tout ou partie d’une classe d’âge, paraît totalement irréaliste aujourd’hui.
En effet nos armées, professionnalisées et entièrement dédiées à leur mission « défense », réduites en effectifs -ceux-ci calculés au plus juste- et avec un encadrement tout juste nécessaire, ne sont plus à même d’assumer une autre mission au profit de la jeunesse, ne serait-ce que même pendant une période limitée, sauf à transformer la nature même du «métier» des armes. D’autre part la question de l’hébergement en milieu militaire comme du soutien «logistique», est passé sous silence : la plupart des casernements ont été vendus, faute d’occupants… Dans ces conditions, qui pourrait faire et quoi ?

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G
la relance d'un nouveau service citoyen, perçue comme infdispensable par de nombreux leaders politiques imposera des coûts et un encadrement qui pourrait être puisé au sein d'anciens cadres de la défense et de l'éducation nationale.<br /> exemple d'un projet possible:<br /> UN NOUVEAU SERVICE CITOYEN<br />             La réactivation d’un service citoyen semble faire l’unanimité auprès de nombreux candidats de nos futures échéances électorales.            Pour en comprendre les raisons il est indispensable d’analyser les motifs qui avaient présidé à sa mise en sommeil dès 1981.            Ce rappel permettra de comprendre comment certaines mesures ont pu être prises ainsi que les conséquences qu’elles entraînent dans l’hypothèse où un nouveau service citoyen reprenait forme.            Après ce rappel historique et les conséquences qui en résultent nous proposerons un nouveau concept de service citoyen avec ses formes, ses objectifs ainsi que son organisation et les coûts prévisionnels qu’il entraînerait.<br />  Les dividendes de la Paix<br />             Dans les propositions du candidat François MITTERAND, la suppression par étape du service national était inscrite. Dès son élection un certain de nombre de mesures furent mises en œuvre en particulier les réductions massives du recrutement des cadres d’active.            En 1986, près de 50% du recrutement des écoles de sous-officiers et au cours des trois années suivantes 30% du recrutement des officiers d’active.            La dissolution des Formations de l’Armée de terre entamée dès 1983, s’accéléra à partir de 1986  pour se stabiliser en 1992 avant de reprendre avec beaucoup d’intensité après la première guerre du golf  jusqu’à la mise en sommeil du service national.            Le non recrutement des cadres imposait logiquement un reformatage de notre outil de défense avec en filigrane dès le début des réformes entreprises la suppression du service national.            Son annonce tardive et inéluctable du fait même de l’absence de cadres  trouve son origine dans les premières mesures de réduction de l’encadrement prises dès 1983.            Une réduction de 12 à 10 mois pris forme en place d’une réduction à 6 mois tout simplement parce qu’un nombre important d’appelés servaient non pas au sein de la défense mais dans les ministères, les différents organismes de l’état ou ceux de l’éducation nationale. La disparition brutale de ces effectifs auraient alors posé de graves problèmes non seulement de gestion mais surtout d’efficacité dans leur propre  fonctionnement.            Les raisons  mises en avant furent l’inégalité des jeunes devant le service, les raisons réelles tenaient à l’emploi dans le cadre des projections opérationnelles où les appelés ne pouvaient être engagés sans l’accord du parlement.            L’augmentation vertigineuse des coûts des matériels, imposait alors une armée professionnelle adaptée à notre budget, ce qui faute d’encadrement imposait alors la mise en sommeil du service national. Un régiment d’active compte trois fois plus de cadres d’active comparativement au même régiment constitué d’appelés.            Ce sont donc des impératifs financiers et opérationnels ainsi que les mesures de réduction de l’encadrement qui sont la véritable cause de la suppression du service national.     L’intérêt majeur qu’offrait ce service tient en plusieurs points.  1/         C’était d’abord un véritable vivier de recrutement pour l’armée d’active, où certains jeunes découvraient un milieu qui leur était totalement inconnu. Tous les recrutements effectués au travers du contingent étaient d’excellents niveaux avec moins de 5% de démissions .comparativement les recrutements initiaux de l’armée de terre (écoles incluses) qui  avoisinent  30 à 40% depuis 1962.2/         C’était également un lieu de mixage social de toute la jeunesse Française. Toutes les classes se retrouvaient de fait soumises aux mêmes obligations. Pour de nombreux étudiants cette expérience leur permettait de vivre avec des jeunes issus d’autres milieux  qu’ils n’avaient pas l’habitude de connaître. Les jeunes qualifiés de l’immigration étaient répartis dans toutes les formations et se retrouvaient de fait et bien souvent pour la première fois comme les autres sans distinction.3/         C’était également le dernier endroit où un suivi médical systématique  permettait à certain de bénéficier de soins gratuits et complets (dentaires en particulier)4/         C’était également le dernier endroit où certains jeunes français pouvaient suivre de manière intensive un rattrapage scolaire sans doute limité à l’apprentissage de la lecture mais qui concernait près de 10% du contingent. Chiffres qui ont été en perpétuelle augmentation depuis 1962 jusqu’à nos jours mais que personne ne voulait voir ou entendre.(moins de 2% en 1962)5/         C’était également une période où de nombreux jeunes pouvaient acquérir une première expérience professionnelle recherchée à l’issue de leur service. (Plus de 150 000 permis de conduire véhicules légers, poids lourds, super poids lourds et transport en commun)Un apprentissage du travail de secrétariat, de mécaniciens, d’infirmiers de cuisiniers etc…6/         C’était également pour beaucoup la découverte d’un milieu essentiellement masculin  totalement différent de ce qu’ils avaient pu vivre au sein de l’éducation nationale où la majorité des enseignants  sont des enseignantes.Ils découvraient rapidement une discipline sans doute imposée et rude  au début mais vite acceptée car nécessaire à la tranquillité de chacun et à l’efficacité de l’ensemble.Discipline qu’ils retrouvaient lors de leur arrivée au sein des entreprises à l’issue de leur service.<br /> LE BESOIN<br /> Depuis sa mise en sommeil et les problèmes croissants que rencontre notre jeunesse et plus particulièrement celle issue de nos grandes banlieues montrent que la mixité sociale devient caduque dans notre pays.            La ségrégation sociale liée à la ségrégation territoriale qui découle des politiques de la ville depuis 1960, isole définitivement une part de plus en plus grande de sa jeune population.L’école de quartier ne regroupe que des enfants issus des mêmes  milieux.            Les retards de plus en plus visibles en matière de santé d’éducation  et surtout d’avenir impose de trouver des solutions originales tirées des expériences passées                           LES OBJECTIFS            L’objectif prioritaire de ce nouveau service citoyen visera par la mixité sociale à recréer un lien entre toutes les composantes de la société Française, qui tienne compte de son évolution récente  due aux dernières vagues migratoires.            Le second objectif consistera au travers des emplois proposés au cours de ce service, de servir la nation en acquérant une première expérience professionnelle réelle.           Le troisième objectif visera au travers de ce sas à éduquer notre jeunesse par  une certaine forme de discipline, comprise au sens d’acceptation des règles indispensables à l’harmonie d’un groupe,afin de la préparer à être mieux acceptéé dans le monde du travail à l’issue de son  service.            Le quatrième objectif sera, comme le disait le président  KENNEDY, « avant de savoir ce que l’état doit faire pour vous, posez vous la question de ce que vous devez faire pour votre pays ».            Le cinquième objectif consistera à leur donner une formation civique citoyenne.             LES EMPLOIS            Tous les jeunes occuperont donc des postes nécessaires au Pays et à sa Population.Ces emplois viseront par les volontaires internationaux à développer la conquête des marchés à l’export de nos entreprises (PME) afin de créer plus de croissance condition sine qua non du retour aux équilibres de nos comptes sociaux.Ces postes seront ouverts au sein des ONG pour accroître l’aide du pays auprès des pays en voie de développement, mais aussi marquer de manière très forte la volonté de la France d’agir seule puis avec l’Europe dans la gestion du monde.Ces postes seront ouverts au sein de l’Education Nationale pour accompagner efficacement tous les enfants en difficulté et prioritairement ceux issus des milieux les plus défavorisés.Ces postes seront ouverts auprès du Ministère de la Santé pour armer les services sous encadrés et plus particulièrement les maisons de retraite.Ces postes seront également ouverts auprès de Associations qui agissent pour une meilleure intégration des populationsCes postes seront également ouverts au sein de la Défense, de la Sécurité Civile, des Pompiers de Paris et des Marins pompiers de Marseille ainsi  que dans la Gendarmerie et la Police nationaleCe service civique concernera tous les jeunes Français et Françaises à partir de 19 ans sans aucune exemption. .Les reports liés aux études de certains étudiants seront autorisés comme cela était le cas avec l’ancien service national cependant sans exemption à l’issue des études.VOLUME DES AFFECTATIONS ET FINALITEAprès une période de formation initiale de deux ou quatre mois, les jeunes auront alors le choix selon un classement à définir pour servir au sein des organismes définis ci-dessus.1/         De rejoindre par le biais des Volontaires internationaux (100 000 postes par an) les entreprises françaises dans la conquête de nouveaux marchés au profit de nos entreprises. Placés sous la responsabilité des postes d’expansion économique des ambassades françaises et du MEDEF , ils pourraient servir aux sein des alliances Françaises ou œuvrer directement pour nos entreprises.(étude de marchés, recherche de partenaires économiques, accompagnement juridique et commercial,recherche de clientèle…)2/         De rejoindre l’encadrement des ONG Françaises ( 150 000 postes)  pour accentuer les efforts déjà entrepris et marquer ainsi l’intérêt de la France et mieux encore de l’EUROPE dans le développement économique et social de nombreux pays qui ont encore besoin d’une assistance.3/         De servir au sein de l’Education Nationale (100 000 postes)  comme répétiteurs ou fonctions définies par les proviseurs ou principaux eux-mêmes en fonction des besoins spécifiques des établissements.Dans ce cas de figure un échange poste par poste pourrait être réalisé avec des pays Européen ce qui offrirait l’avantage pour certains d’apprendre in situ une langue étrangère et pour les proviseurs de disposer en échange de jeunes étudiants étrangers plus aptes à enseigner leurs propres langues.4/         De servir au sein du Ministère de la santé (50 000 postes) , ce qui imposera une formation complémentaire médicale de 4 mois avant d’entrer en fonction.Les postes à armer seront proposés par le ministère auprès d’un certain nombre de structures mais prioritairement auprès des  établissements chargés d’accueillir des personnes âgées.5/         De servir au sein d’Associations (100 000 postes) indispensables à l’intégration des nouveaux arrivants.6/         De servir au sein de la Défense (50 000 postes) pour éventuellement permettre une pré sélection aux futurs recrutés des armées.7/         De servir au sein des formations de la Sécurité Civiles (50 000 postes)  actuellement  sous gestion militaire comme les pompiers de Paris, les Marins Pompiers de Marseille ou le Unités d’instruction de la sécurité civile.8/         De servir au sein de la Gendarmerie Nationale (25 000 postes) renforcement des unités territoriales, pré sélection à un recrutement ultérieur et alimentation des réserves.9/         De servir au sein de la Police Nationale (25 000 postes) , renforcement des commissariats de quartiers, pré sélection pour un recrutement ultérieur et alimentation des réserves.ORGANISATIONS ET COÛTSPlacé sous la responsabilité du Bureau du Service national qui existe toujours, ce dernier serait chargé de l’appel et de la gestion  des jeunes citoyens tous les deux mois dans des centres de formation qui seraient placés pour gestion sous la responsabilité du ministère de la défense.Le manque d’encadrement des forces armées serait pallié par le recrutement d’anciens militaires ou d’enseignants à la retraite ainsi  qu’en sous traitant certains services indispensables à toute collectivité humaine. (Alimentation, santé, transport etc…)Tous les élèves des Grandes écoles ainsi que les étudiants autorisés à poursuivre leurs études au-delà de la licence seraient astreints durant leurs scolarités de suivre des formations d’officiers de réserve pendant les congés scolaires.Ce dispositif proche de l’Instruction militaire Obligatoire à la quelle ils étaient astreints avant 1980 offrirait la formation de plus de 50 000  cadres disponibles et efficaces pour l’encadrement de ce service citoyen.Sur une classe d’âge actuelle de 750 000 jeunes, ce seront 650 à 700 000 jeunes qui seraient appelés à ce service citoyen en faisant abstraction de ceux qui pour raisons médicales ne pourraient être appelés.<br />             En imaginant six appels par an, dont  trois plus volumineux en été afin de permettre aux futurs étudiants de poursuivre leurs études dans de bonnes conditions, il serait nécessaire de disposer de 300 centres pouvant accueillir chacun en simultané 1000 personnes.<br /> Juillet     150 000    lycéens  (disponibles en juin )<br /> Août       150 000    Lycéens  (idem) en juillet<br /> Octobre   150 000    Lycéens  (idem) en septembre<br /> Décembr 100 000   Etudiants en fin de scolarité<br /> Février       50 000<br /> Avril           50 000<br /> STRUCTURE TYPE<br /> Chacun des centres de formation initiale pourrait être organisé de la manière suivanteUne structure de commandement Deux officiers supérieurs 2/0/0     Disposant d’un secrétariat 0/2/ 21 responsable de la formation 1/0/0            Disposant d’un secrétariat 0/2/5  D’un bureau des sports avec 1/10/ 10     De formateurs spécialisés              Formation civique 5              Formation Médicale 5              Formation logistique et management des ONG 5              Formation Psychologique de l’éducation nationale 5              Formation des futurs volontaires internationaux 5              Formation protection civile 5              Formation à la conduite correspondant régional (0/1/0)<br /> 1 Responsable médical 1/0/0           <br /> disposant d’un secrétariat 0/1/2              De 3 médecins              D’un dentiste              De 5 infirmiers<br /> 1 responsable administratif (économe)  Disposant d’un secrétariat 0/1/2      Sous- traitance   Alimentation 0/1/1      Sous- traitance    Moyens de transport 0/1/1      Gestion des personnels 0/2/2      Un trésorier 1/2/2      Un correspondant de la poste 0/1/0      Sous-traitance de l’entretien des bâtiments 0/1/21 Responsable technique    Disposant d’un secrétariat 0/1/2       Garage mécaniciens et chauffeurs 0/3/10                                  Cinq unités administratives et de formation   Une spécialisée dans l’humanitaire (ONG)   Une spécialisée dans l’éducation nationale   Une spécialisée dans le commerce extérieur   Une spécialisée dans le domaine médical   Une spécialisée dans le domaine de la sécurité civile, protection.            Encadrement souhaitable            Commandement            1 officier disposant d’un secrétariat 0/2/3            4 Officiers chefs de section            Par section 1 adjoint et 4 chefs de groupes et 4 moniteurs (IMO en formation)            BILAN de l’EncadrementOfficiers supérieurs    6Officiers d’active  1 officier des sports                                 3    médecins                                 1     dentiste                               6    commandants d’unités élémentaires de formationOfficiers appelés (IMO)  Formateurs spécialisés      30  Encadrement des sections de formation    20Sous-Officiers  d’active            Secrétariat PC  2            Secrétariat Bureau Formation 2            Moniteurs de sports  10            Auto école  1            Secrétariat infirmerie 1            Infirmeri (infirmiers)  5            Secrétariat administratif   9            Secrétariat services techniques 4            Adjoints sections  20            Secrétariats d’unités 10Militaires du rang d’active ou personnels civils    10<br /> COÛTS DE FONCTIONNEMENT PAR CENTRE<br /> SALAIRES  <br />       17  officiers d’active (ou retraités)      64  sous-officiers d’active (ou retraités)      10  militaires du rang ou personnels civils     5   M €<br /> SALAIRES IMO      80   (6000€ annuels)   0,5 M€<br /> SOLDE des stagiaires  1000 (1800€ annuel)  1,8 M€FONCTIONNEMENT   1,2 M€  BILAN GLOBAL POUR LES  300 CENTRES<br />    BUDGET   8,5 M€ par 300  soit :   2550 Millions d’euro hors coûts d’installation des locaux qui peuvent être estimés à 10 M € par centre soit 3000 Millions d’euros sur 20 ans soit 150 à 200 Millions d’euros par an.<br />             Le coût initial d’un tel système reviendrait à près de 3 milliards d’euros par an. En contrepartie, dès que l’action des jeunes placés au sein des ambassades ou des ONG aurait un impact sur le commerce extérieur du pays il est possible d’imaginer un accroissement de plus de 20% soit un excédent de 60 Milliards d’euros par an.            Par ailleurs cet accroissement de l’activité du pays entraînerait systématiquement des embauches pour faire face à l’augmentation d’activité et par effet une diminution des charges de l’état en matière d’assurances chômage ou d’aide à l’emploi.1 milliard ‘euros d’exportation crée 15 000 emplois supplémentaires soit  près d’un million d’emplois nouveaux en France d’ici trois à cinq ans.CONCLUSIONLa mise en place de ce service citoyen aurait également pour effet immédiat d’assécher 750 000 emplois en une année et ainsi de  permettre à ceux qui en sont malheureusement privés d’avoir plus de chance d’en retrouver un rapidement si des formations adaptées sont mises en place dès à présent.L’aide apportée immédiatement auprès de nos lycées, de nos hôpitaux, de nos maisons de retraite et de nos associations aurait un impact sur la cohésion sociale peu chiffrable aujourd’hui mais qu’il est facile d’imaginer.Cette première expérience professionnelle ainsi qu’une formation de sas aurait également pour avantage de permettre aux employeurs d’accepter notre jeunesse sans souci de leur intégration au sein de leurs propres communautés, ce qui aujourd’hui est un des freins majeurs à l’embauche des jeunes et tout particulièrement au sein des PME de moins de 20 salariés qui représentent 96% de nos entreprises
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B
En plus, les services d'armes se privatisent. Ce qui à deja entrainé de graves problemes, comme Dyncorp aux états unis qui faisait dans la prostitution d'enfants.<br /> <br /> Déja, les armées nationaux de plusieurs pays sont abusé par des intérets purement de corporations et banques. Pour des profits allant vers les oligarchs.<br /> <br /> Il n'y a plus de souverainté, il n'y a pas de démocratie. La "démocratie" représentative n'en est pas une, contrairement a ce que l'on pourait penser. Les partis sont subventionés par des corporations, les médias principaux sont des corporations, le choix entre possibles élus est limité, et les principaux partis font la méme politique avec une apparence differente.<br /> <br /> Dans ces conditions, que fait-on?<br /> <br />
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